jeudi 27 mai 2010

Pourquoi, ,aujourd'hui, soutenir un candidat libéral, Arnaud Walther

CITATION
« L'État, c'est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde. »

– Frédéric Bastiat, 1848...
apprendre à faire le deuil de ses illusions...

La révolte, la réponse violente, dans un premier temps,
quand un être humain est confronté à une réalité désagréable,
auquel il ne s'est pas "préparé",n' est certes pas à négliger.

Toutefois, de même que voilà encore 50 ans, les médecins "brut de décoffrage"
pouvaient vous annoncer: vous avez un cancer...plus que quelques mois à vivre, ou au contraire vous "cacher" le désastre,
maintenant, ils ont appris à gérer ces situations...

Les libéraux ont le bon diagnostique....
ils ont anticipé les désillusions...
c'est parfait....mais insuffisant

Il serait temps d'apprendre à communiquer positivement, de manière digne et positive,
sur cette catastrophe collective qui nous pend au nez...

Un mec qui apprend que sa femme le trompe, que son gosse à une leucémie foudroyante
ou que sa boite délocalise en Pologne peut certes quelques instants avoir une pulsion de rage,

l'envie de flinguer l'amant, d'euthanasier le fils,
d'ouvrir le feu sur la foule à la kalachnikof ou de se tirer une balle dans la tête...

Mais s'il est bien entouré, si on lui propose des pistes de réflexion,
s'il se sent efficacement épaulé par des personnes compétentes,
il peut trouver de la ressource pour "assumer"

C'est même pour cela que je soutiens le candidat libéral, Arnaud Walter

C'est le moment où nombre de nos concytoyens peuvent comprendre
leur responsabilité dans ce qui nous arrive,
leur naive confiance dans cette classe politique
qui à crée le problème et est aujourd'hui complètement décrédibilisée,
et qui est bien incapable de proposer la moindre piste de travail,
le moindre soupçon de résolution
et en est réduit à jouer les pompiers pyromanes,le sapeur camenbert qui creuse des trous pour en reboucher d'autres,
et à crier haro sur le bouc émissaire.
pour conclure:
le jour ou vous perdez d'illusion de l'état,
la certitude de vivre, vous, au dépends des autres "con(s)"- tribuables
et comprenez que non, demain, on ne rasera pas gratis...

relisez Bastiat